Les interviews s’enchaînent :
Claude ROGET est le président du tournoi Challenger.
Bonjour Monsieur Roget,
Être président, est-ce un rôle important ?
Oui c’est un rôle important mais dans le tournoi tous les participants ont un rôle important.
Est-ce difficile d’être le président du tournoi ?
Oui c’est compliqué et j’en suis fier. Vous aussi vous pouvez être fiers d’être ramasseurs de balles !
Pourquoi avez-vous créé ce tournoi et pourquoi avoir voulu en être le président ?
Par passion du sport et passion du tennis bien sûr.
Jouez-vous au tennis ?
Oui, depuis l’âge de 28 ans et encore aujourd’hui.
Depuis combien de temps êtes-vous président ?
Depuis 1976. J’ai créé le tournoi « Future » en 2002 ; il s’appelle « Challenger » depuis 2013.
Quel est le rôle du président ?
Avec mes collaborateurs et nos sponsors, nous organisons toute l’année le tournoi. La charge de travail est importante mais c’est un vrai plaisir !
Merci Monsieur Roget
Les ramasseurs journalistes : Alicia, Noah, Rémi, Léonie, Laurlaye et Zoé.
Soren et Clément ont défié leur coach Amandine et ils ont perdu. Le gage : un discours glorifiant les coachs.
Soren : « Je voudrais féliciter et remercier Clara et Marie d’être aussi impliquées avec nous et de consacrer autant de temps pour nous apprendre toutes les règles de ramasseurs de balles. Clara et Marie sont gentilles, aimables, elles ont du « flow » et ont toujours le sourire. Elles savent toujours dire ce qui est à améliorer mais aussi dire ce qui est excellent. J’adore les lunettes de soleil de Marie […] Et pensez à vous inscrire au tennis l’année prochaine car si certains tennismen cassent des raquettes, aucun n’a jamais cassé des cœurs. »
Clément : « Je voudrais remercier et féliciter Amandine et Laurent pour leur engagement auprès de nous pour nous apprendre à ramsser les balles. Il ont pris beaucoup de temps pour nous enseigner tout ce qu’il fallait savoir. Ils sont extrêmement gentils et attentionnés et grâce à eux, on passe une très bonne semaine en étant toujours motivés et dans la bonne humeur et j’aimerais qu’on les applaudisse pour leur travail. Journalistes du jour : Soren et Clément